jeudi 8 septembre 2016

Déménagement et travaux d’été

Le déménagement des équipes ainsi que le réaménagement des espaces ont eu lieu en parallèle avec des   travaux conséquents générant certaines nuisances (sonores, olfactives, circulation, …) et incidents techniques.


Nous vous rappelons les impacts de ce projet :

  •  ne réduction de la surface globale afin de baisser les coûts de location
  •   ne généralisation importante des benchs de 6
  • a perte de postes attribués pour la plupart des sédentaires
  • L’apparition de nouveaux postes collaboratifs mais qui risquent de générer des nuisances dans les espaces de travail.



Le nouveau challenge sera à chaque arrivée au campus de trouver un poste de travail libre qui correspond à l’usage que l’on veut en faire. Trouver un espace de travail silencieux risque d’être de plus en plus difficile.

Mauvaise qualité de l’air au campus

Suite à une intervention du CHSCT, des taux de CO2 très important (1150 ppm) et dépassant la réglementation ont été mesurés dans la salle immersive destinée à démontrer nos technologies appliquées en environnement scolaire. Les taux de CO2 dans l’air sont en moyenne de 300 à 400 ppm. Ce sont les taux mesurés à l’extérieur du campus. Si le système d’aération du campus fonctionnait correctement on devrait être proche de ces niveaux ce qui n’est pas le cas. Le CO2 est émis par la respiration et devient toxique à des taux élevés. Le CHSCT a émis un droit d’alerte et la salle a dû être fermée. Si vous constatez un manque d’air associé souvent à une élévation de la température contactez nous et nous ferons intervenir le CHSCT .

vendredi 24 juin 2016

SDT Service Delivery Transformation réorganisation de la Division Services


Les consultations du CE et du CHSCT ont pris fin le 15 juin, à la fin des délais légaux.

 

ü  Le CHSCT a émis un avis défavorable :

o   Non-conformité du Remote Management

o   Risques psychosociaux (RPS) accrus du fait de l’organisation du travail

o   Non-respect des diversités concernant la langue et la culture

o   Risques de discriminations et inégalités

o   Risques sur l’emploi

ü  Mais a pu négocier un nombre limité de points d’aménagements.

o   Un prochain groupe de travail sur le Remote Management et le Host Management,

o   Un suivi régulier du déploiement du projet

o   Une enquête après un an

 

 

ü  Le CE a estimé ne pas être en position d’émettre un avis, du fait du manque d’information sur des points importants. La Direction, considérant que le délai légal était passé, a conclu que cela correspondait à un avis défavorable, comme le lui permet maintenant la loi. Cela lui donne donc la possibilité de déployer le projet.

 

Vous trouverez le détail de ces avis ainsi que la réponse de la Direction dans les 3 annexes.

 

Les points d’achoppements :

 

ü  Le véritable objectif du projet :
il s’agit en fait d’un projet économique visant à optimiser les ressources sur un plan mondial. Cela ne peut générer qu’une forte inquiétude sur l’emploi des services en France. Cette nouvelle organisation permettra en effet de favoriser les ressources où elles sont le moins cher au détriment des autres. Il s’agit d’un nivellement vers le bas, pour les clients comme pour les Microsoftees.

ü  Le Remote Management :
le projet SDT généralise la notion de RGE (Regional Guest Employee) et donc la possibilité d’être managé par un manager hors de France. Cela n’est pas autorisé par le code du travail Français. Le lien hiérarchique et de subordination devant se faire au sein de l’entreprise Microsoft France. Cela concerne notamment les objectifs, le temps de travail, l’évaluation, la rémunération, les congés etc …

ü  La langue :
la loi Toubon impose que tout écrit ou discussion pouvant avoir un rapport avec le contrat de travail et le lien de subordination avec l’employeur doit se faire en français. Cela n’est pas respecté par le projet.

ü  Les modalités d’intervention des personnels français à l’étranger ou étrangers en France ne respectent pas les règles légales.

dimanche 7 février 2016

Mutuelle santé : les négociations en phase d’aboutir !



La négociation a évolué depuis notre lettre de décembre, les élus CGT et CFE-CGC (et en l’absence de nouveau remarquée des élus CFTC…) ont réussi à faire évoluer la proposition initiale de la Direction. Aidés de leur expert, une proposition alternative de découpage à deux contrats et non plus trois a été proposée à la Direction :


  • Un contrat dit « responsable » respectant les nouvelles contraintes légales

  •  Un contrat complémentaire permettant d’améliorer certains remboursements pour se rapprocher le plus possible de notre ancien contrat et même l’améliorer sur le dentaire et l’ostéopathie.


L’avantage de notre proposition :

  •  Ces deux contrats étant obligatoires, les risques sont mutualisés sur l’ensemble des Microsoftees avec solidarité entre tous : plus de 3ème contrat optionnel à payer en fonction de la composition de la famille.

  • Le risque de dérive sur le 3ème contrat optionnel avec des incertitudes sur le nombre d’adhérents est supprimé.

  • L’ajout des remboursements d’ostéopathie et implants dentaires est maintenu.


À notre surprise, alors que nous pensions que la négociation était bloquée, la Direction a retenu notre proposition.

Néanmoins le package global serait réduit, la Direction ayant refusé de conserver le paiement en totalité de la cotisation, pour imposer l'exigence de Corp d'une cotisation pour le Microsoftee. Ce montant resterait fixe et limité pour l'instant, de l'ordre de 20€ par mois, soit 12% de la cotisation globale.
La Direction estime que cette mesure inciterait l'ensemble des Microsoftees à limiter les dépenses de santé, pour ne pas risquer de fragiliser l'équilibre de notre mutuelle, obligeant des augmentations de cotisation.

La Direction prendrait en charge 88% de la cotisation, le Microsoftee 12%.